Archive - juin 2019
GATEWAYS TO NEW YORK
documentaire
En bref...
Après la Migros de Gottlieb Duttweiler et le LSD d'Albert Hoffmann, voici les ponts d'Othmar H. Ammann. Martin Witz continue de questionner l'histoire à travers le parcours d'un nouvel inventeur d'origine helvétique.
Bande-annonce...
Mais encore...
âge légal et conseillé 10 ans
C'est l’histoire du grand ingénieur suisse, Othmar H. Ammann, qui part en 1904 de Zurich pour New York, où il révolutionnera l’art de la construction des ponts. Ses ouvrages ont relié l’île de Manhattan à la terre ferme et ont changé pour toujours le visage de New York.
Au-delà de la vie et de l’oeuvre du protagoniste, le film traverse quasiment tout le 20e siècle, à travers un angle d'approche particulier : le génie civil, la motorisation, l’urbanisation, la société de consommation en constante accélération. Ammann, avec ses constructions à couper le souffle, se trouve au milieu de cela, il est lui-même un agent du progrès… et de la croyance en celui-ci.
Beaucoup des skywalkers, comme on appelait les travailleurs de l’acier qui risquaient leur vie sur les hauteurs, étaient des autochtones américains de la tribu des Mohawks. En contrepoint au parcours glorieux de Othmar H. Ammann, Martin Witz rend également hommage à tous ceux qui ont construit ces ponts.
C'est l’histoire du grand ingénieur suisse, Othmar H. Ammann, qui part en 1904 de Zurich pour New York, où il révolutionnera l’art de la construction des ponts. Ses ouvrages ont relié l’île de Manhattan à la terre ferme et ont changé pour toujours le visage de New York.
Au-delà de la vie et de l’oeuvre du protagoniste, le film traverse quasiment tout le 20e siècle, à travers un angle d'approche particulier : le génie civil, la motorisation, l’urbanisation, la société de consommation en constante accélération. Ammann, avec ses constructions à couper le souffle, se trouve au milieu de cela, il est lui-même un agent du progrès… et de la croyance en celui-ci.
Beaucoup des skywalkers, comme on appelait les travailleurs de l’acier qui risquaient leur vie sur les hauteurs, étaient des autochtones américains de la tribu des Mohawks. En contrepoint au parcours glorieux de Othmar H. Ammann, Martin Witz rend également hommage à tous ceux qui ont construit ces ponts.
