Archive - septembre 2019
JEANNE
fiction
En bref...
Après avoir réalisé JEANNETTE, l’enfance de Jeanne d’Arc en 2017, Bruno Dumont revient sur cette adaptation des œuvres de Charles Péguy, Mention Spéciale – Un Certain Regard au Festival de Cannes 2019.En complément...
Bande-annonce...
Mais encore...
âge légal et conseillé 16 ans
Année 1429. La Guerre de Cent Ans fait rage. Jeanne, investie d’une mission guerrière et spirituelle, délivre la ville d’Orléans et remet le Dauphin sur le trône de France. Elle part ensuite livrer bataille à Paris où elle subira une première défaite.
Emprisonnée à Compiègne par les Bourguignons, elle est livrée aux Anglais. S’ouvre alors son procès à Ouen, mené par Pierre Cauchon qui cherche à lui ôter toute crédibilité. Fidèle à sa mission et refusant de reconnaître les accusations de sorcellerie diligentées contre elle, Jeanne est condamnée au bûcher pour hérésie.
On retrouve dans JEANNE tout ce qui fait le cinéma de Bruno Dumont et qui le rend si particulier, à tel point qu’il divise la critique, entre adulation et rejet complet de ses partis pris artistiques.
En respectant la chronologie des textes de Charles Péguy, mais en ancrant ces œuvres dans une forme de contemporanéité, Dumont propose un regard neuf et habité sur la vie de Jeanne d’Arc, interprétée par la très surprenante Lise Leplat Prudhomme. En face d’elle, peu de grands noms, à part Fabrice Luchini et le chanteur Christophe (qui signe ici la bande-originale du film), mais une flopée de comédiens amateurs, à l’interprétation à la fois fragile et puissante.
Année 1429. La Guerre de Cent Ans fait rage. Jeanne, investie d’une mission guerrière et spirituelle, délivre la ville d’Orléans et remet le Dauphin sur le trône de France. Elle part ensuite livrer bataille à Paris où elle subira une première défaite.
Emprisonnée à Compiègne par les Bourguignons, elle est livrée aux Anglais. S’ouvre alors son procès à Ouen, mené par Pierre Cauchon qui cherche à lui ôter toute crédibilité. Fidèle à sa mission et refusant de reconnaître les accusations de sorcellerie diligentées contre elle, Jeanne est condamnée au bûcher pour hérésie.
On retrouve dans JEANNE tout ce qui fait le cinéma de Bruno Dumont et qui le rend si particulier, à tel point qu’il divise la critique, entre adulation et rejet complet de ses partis pris artistiques.
En respectant la chronologie des textes de Charles Péguy, mais en ancrant ces œuvres dans une forme de contemporanéité, Dumont propose un regard neuf et habité sur la vie de Jeanne d’Arc, interprétée par la très surprenante Lise Leplat Prudhomme. En face d’elle, peu de grands noms, à part Fabrice Luchini et le chanteur Christophe (qui signe ici la bande-originale du film), mais une flopée de comédiens amateurs, à l’interprétation à la fois fragile et puissante.
