Archive - novembre 2015
JE M'APPELLE JACK
SAISON JEUNE PUBLIC TPR/ABC
conte initiatique
En bref...
Elie a l’âge où l’on perd sa dernière dent de lait. C’est une petite fille comme les autres. A cela près qu’elle se sent un peu à l’étroit dans ses habits qui collent.En complément...
réservations à la billetterie de l'Heure Bleue
Mais encore...
texte Sandra Korol
mise en scène Michel Toman
scénographie et costumes Jean-Luc Taillefert
construction Ateliers du petit théâtre Lausanne
couture Célia Franceschi
musique et son Cédric Simon
distribution en cours
coproduction Le petit théâtre Lausanne, Cie Face Public
Elie a l’âge où l’on perd sa dernière dent de lait. C’est une petite fille comme les autres.
A cela près qu’elle se sent un peu à l’étroit dans ses habits qui collent.
Et qu’elle ne parle pas beaucoup — un chuchotis, quelques murmures, comme une flaque de silence. A cela près surtout que lorsqu’Elie se regarde dans un grand miroir, l’image se voile, s’estompe et c’est alors Jack qui apparaît. Elle veut trouver les mots pour le dire. Dire qu’elle est Jack, qu’elle aime démonter des trucs très compliqués pour voir ce qu’il y a dedans, dire qu’elle aime porter des jeans avec des trous et avoir un petit canif autour du cou.
Sandra Korol est l’auteure d’un triptyque pour le jeune public qui porte sur l’épineuse question de savoir comment vivre bien, avec soi-même et les autres, lorsque l’on se découvre différent.
Avec Je m’appelle Jack, elle explore la question du genre. Un conte, un voyage initiatique, une traversée du miroir, une exploration de la quête d’identité par le biais d’une épopée narrative et poétique, délicate et sensible.
Sandra Korol se forme à l’art dramatique au Conservatoire de Lausanne et exerce les mille et une facettes de son métier sur les scènes romandes, au cinéma et à la télévision suisse où elle présente des émissions. Parallèlement à son activité de comédienne, Sandra Korol écrit depuis 2001, pour le théâtre et le cinéma, ce qui lui a valu neuf prix d’écriture. Elle signe ici le troisième volet d’une trilogie dont les deux premiers opus étaient Le Voyage de Célestine, et Tim et les Zinvisibles déjà mis en scène par Michel Toman, acteur, metteur en scène et pédagogue vaudois, qui a enseigné puis codirigé le Conservatoire d’art dramatique de Lausanne.
