Archive - décembre 2017
SILENCES
THEATRE D'UNE VOIX
monologue - création
En bref...
Cette création trouve son initiale dans les confidences d’une femme. Saisi par le combat qu’elle menait avec elle-même, par les tonalités et la forme de ces discours du non-dit, ainsi que cet incessant besoin de se raccrocher à l’évocation des lieux, l’auteur a imaginé une œuvre qui allie écriture, photographie, et maintenant une mise en scène.
Mais encore...
conception et texte Sandro Marcacci
mise en scène et scénographie Francy Schori
jeu Isabelle Meyer
scénographie Nicole Grédy
regard artistique et photographies de spectacle Catherine Meyer
lumières Léon Jodry
costumes Corinne Nicaise-Marcacci
prise de son Francine del Coso
production Cie Léon
co-production Centre de culture ABC
Notes sur le spectacle
La comédienne, seule en scène. Une voix, un souffle, des gestes, discrets, un corps et des déplacements comme des raccourcis. Un espace scénique, conçu comme les traces de lieux réels, d’objets réels, ou déformés par le travail du souvenir, regard en arrière.
Non-dits. Le récit se construit comme un tableau pointilliste, où l’image - les événements, les lieux, les émotions, apparemment banals - se révèle insensiblement.
Apartés. Le même tableau, mais le récit suit un autre chemin, plus intimiste, parcourant les interstices séparant - ou reliant - les taches de couleur. Le récit s’épaissit, éclate, se cherche. Avec fragilité, humanité. Entre ombre et lumière, et en s’élevant.
F. Schori
« Mon père a créé la société le 22 juin, oui, le jour de ma naissance. Il a signé le matin et je suis née vers midi. Donc voilà, on était jumelles, moi dans mon landau et la société deux rues plus loin. »
S. Marcacci
mise en scène et scénographie Francy Schori
jeu Isabelle Meyer
scénographie Nicole Grédy
regard artistique et photographies de spectacle Catherine Meyer
lumières Léon Jodry
costumes Corinne Nicaise-Marcacci
prise de son Francine del Coso
production Cie Léon
co-production Centre de culture ABC
Notes sur le spectacle
La comédienne, seule en scène. Une voix, un souffle, des gestes, discrets, un corps et des déplacements comme des raccourcis. Un espace scénique, conçu comme les traces de lieux réels, d’objets réels, ou déformés par le travail du souvenir, regard en arrière.
Non-dits. Le récit se construit comme un tableau pointilliste, où l’image - les événements, les lieux, les émotions, apparemment banals - se révèle insensiblement.
Apartés. Le même tableau, mais le récit suit un autre chemin, plus intimiste, parcourant les interstices séparant - ou reliant - les taches de couleur. Le récit s’épaissit, éclate, se cherche. Avec fragilité, humanité. Entre ombre et lumière, et en s’élevant.
F. Schori
« Mon père a créé la société le 22 juin, oui, le jour de ma naissance. Il a signé le matin et je suis née vers midi. Donc voilà, on était jumelles, moi dans mon landau et la société deux rues plus loin. »
S. Marcacci
