Archive - février 2017
NUIT DE LA PHOTO III
6ème édition
projections photographiques
En bref...
Projection d’une trentaine d’œuvres en divers lieux de La Chaux-de-Fonds : Club 44, MIH, MBA, Musée d’histoire, Parc des musées, ESTER et bien sûr, ABC et Temple Allemand
Mais encore...
photographies Sarah Waiswa, Vétré Antanaviciuté, David Marchon
Sarah Waiswa (Ouganda, 1980) ÉTRANGÈRE EN TERRE FAMILIÈRE, 2016
Dans certains pays d’Afrique, les albinos sont l’objet de discriminations, en raison des pouvoirs maléfiques qu’on leur prête. Réalisées dans un bidonville de Nairobi, les images de Waiswa mettent en scène la difficulté de ces personnes à vivre au milieu des autres.
Vétré Antanaviciuté (Lituanie, 1970) RAIN KID, 2014-2016
Sélectionnée dans le cadre d’un partenariat entre la Nuit de la Photo et le Festival Kaunas Photo en Lituanie, cette photographe s’emploie à traduire en images, dans un travail très sensible, la vie intérieure et extérieure de son enfant autiste
David Marchon (Suisse, 1976) LES SPORTIFS DU DIMANCHE, 2016
Le lauréat de la 5e Nuit de la Photo présente ici les portraits de boxeurs hors du ring, après le combat. Son regard est celui d’un ethnologue scrutant avec tendresse la ferveur presque religieuse qui accompagne de nos jours la pratique du sport amateur.
Dans certains pays d’Afrique, les albinos sont l’objet de discriminations, en raison des pouvoirs maléfiques qu’on leur prête. Réalisées dans un bidonville de Nairobi, les images de Waiswa mettent en scène la difficulté de ces personnes à vivre au milieu des autres.
Vétré Antanaviciuté (Lituanie, 1970) RAIN KID, 2014-2016
Sélectionnée dans le cadre d’un partenariat entre la Nuit de la Photo et le Festival Kaunas Photo en Lituanie, cette photographe s’emploie à traduire en images, dans un travail très sensible, la vie intérieure et extérieure de son enfant autiste
David Marchon (Suisse, 1976) LES SPORTIFS DU DIMANCHE, 2016
Le lauréat de la 5e Nuit de la Photo présente ici les portraits de boxeurs hors du ring, après le combat. Son regard est celui d’un ethnologue scrutant avec tendresse la ferveur presque religieuse qui accompagne de nos jours la pratique du sport amateur.
