Archive - septembre 2016
LES ILES
BIJOUX
exposition
En bref...
Vernissage et exposition (attention ! de très courte durée !!!) des travaux de création réalisés par les élèves du secteur Bijouterie de l’École d’arts appliqués de La Chaux-de-FondsEn complément...
Vernissage mardi à 18h00
Exposition ouverte mercredi de 14h00 à 20h00
Mais encore...
réalisation élèves de première, deuxième et troisième année de formation de l’École d’arts appliqués de La Chaux-de-Fonds
collaboration École d’arts appliqués de La Chaux-de-Fonds, Centre du culture ABC
En juin dernier, en tant qu’examen de création, les étudiant-e-s de l'Ecole ont réalisé bijoux et objets sur le sujet: LES ÎLES.
Les îles, formes finies au milieu de l’infini, ont influencé par leur pourtour, leur relief, leur histoire, leur géographie, une quantité d’artistes, toutes disciplines et toutes époques confondues.
Ce thème très suggestif a aussi inspiré les élèves bijoutiers et bijoutières dans la réalisation et l’esthétique de différents objets, que nous vous convions à découvrir.
« Les îles sont comme des idées. Désertes, elles fascinent. Opèrent comme des réserves, captent les histoires et abritent les hommes depuis la création du premier poème. Hébergent les évadés, les meurtriers, les généraux mégalomanes, les capitaines visionnaires, les acteurs misanthropes, et les milliardaires naturistes, piègent les malades en quarantaine, les enfants rebelles, les bagnards et les réfractaires de toutes sorte, les peintres hallucinés, les reines mélancoliques, et tous ceux que la société renvoie à la mer. »
Maylis de Kerangal, À CE STADE DE LA NUIT
Les îles, formes finies au milieu de l’infini, ont influencé par leur pourtour, leur relief, leur histoire, leur géographie, une quantité d’artistes, toutes disciplines et toutes époques confondues.
Ce thème très suggestif a aussi inspiré les élèves bijoutiers et bijoutières dans la réalisation et l’esthétique de différents objets, que nous vous convions à découvrir.
« Les îles sont comme des idées. Désertes, elles fascinent. Opèrent comme des réserves, captent les histoires et abritent les hommes depuis la création du premier poème. Hébergent les évadés, les meurtriers, les généraux mégalomanes, les capitaines visionnaires, les acteurs misanthropes, et les milliardaires naturistes, piègent les malades en quarantaine, les enfants rebelles, les bagnards et les réfractaires de toutes sorte, les peintres hallucinés, les reines mélancoliques, et tous ceux que la société renvoie à la mer. »
Maylis de Kerangal, À CE STADE DE LA NUIT