Du 2 Déc au 22 Déc
HAWAR, NOS ENFANTS BANNIS
Documentaire
En bref...
Ana traverse le Kurdistan clandestinement pour revoir sa fille Marya, qu'elle n'a plus vue depuis quatre ans. Comme de nombreuses femmes yazidies, une minorité religieuse d’Irak, Ana a été enlevée par Daech en 2014. Elle a survécu et est revenue dans sa communauté. Mais pour l’accepter, les siens l’ont forcée à abandonner son enfant né des viols des djihadistes. Le film dresse le portrait de ces femmes, de leurs enfants et familles, et à travers elles d’un territoire peu connu et magnifiquement filmé, sur le chemin de la résilience.Les horaires et tarifs...
- Mardi 2 décembre à 18 h 15
- Dimanche 7 décembre à 11 h 15
- Lundi 8 décembre à 18 h 15
- Mardi 16 décembre à 20 h 15
- Lundi 22 décembre à 20 h 15
- Plein tarif 14.–
- Réduit 11.–
- Membres 10.–
- Ecoles partenaires et résident·es Alfaset 5.–
Bande Annonce...
Mais encore...
En 2014 déjà, Pascale Bourgaux a été l’une des premières reporters à mettre en lumière le recours par Daech à l’esclavagisme sexuel. Pour le magazine de France 2 Envoyé spécial, elle a recueilli les témoignages de survivantes. Fruit d’un travail de longue haleine de sept ans, Hawar, nos enfants bannis prolonge celui-ci en faisant d’une histoire personnelle, celle d’Ana, un récit universel sur les crimes de guerre.
– Stéphane Gobbo, Le Temps –
C’est à un voyage déroutant et profondément humain que nous convie Hawar, nos enfants bannis, de Pascale Bourgaux. Qui se soucie encore des Yazidies, ces femmes enlevées par Daesh dans le Nord de l’Irak en 2014? Le film capture un moment rare: la cérémonie du Nouvel An au sanctuaire de Lalesh, le principal temple yazidi en Irak. Mais le mysticisme et la beauté des lieux ne sauraient cacher la misogynie des responsables religieux et de la majeure partie de la population.
– Isolda Agazzi, Le Courrier –
– Stéphane Gobbo, Le Temps –
C’est à un voyage déroutant et profondément humain que nous convie Hawar, nos enfants bannis, de Pascale Bourgaux. Qui se soucie encore des Yazidies, ces femmes enlevées par Daesh dans le Nord de l’Irak en 2014? Le film capture un moment rare: la cérémonie du Nouvel An au sanctuaire de Lalesh, le principal temple yazidi en Irak. Mais le mysticisme et la beauté des lieux ne sauraient cacher la misogynie des responsables religieux et de la majeure partie de la population.
– Isolda Agazzi, Le Courrier –