Du 5 Nov au 30 Nov
EN PREMIÈRE LIGNE
Fiction
En bref...
L'infirmière Floria (impressionnante Leonie Benesch) maîtrise avec passion et professionnalisme le quotidien stressant du service de chirurgie d'un hôpital cantonal. Mais lorsque le personnel vient à manquer dans une équipe de fin de journée, son travail se transforme en une course contre la montre. Présenté à la Berlinale, le dernier film de la réalisatrice de L’ORDRE DIVIN, est un plaidoyer sans concession pour la valorisation des professions soignantes.En complément...
La sortie de KIKA est l’occasion de remontrer les films précédents de la cinéaste, coup de cœur de notre programme de novembre. Son œuvre illustre à quel point documentaire et fiction, réel et imaginaire se nourrissent et se renforcent mutuellement. L’occasion aussi de tisser un fil rouge du soin, en reprenant également pour quelques séances le palpitant EN PREMIÈRE LIGNE de la réalisatrice suisse Petra Volpe.
Lundi 10, soirée thématique autour du soin: SAUVE QUI PEUT et EN PREMIÈRE LIGNE.
Lundi 10, soirée thématique autour du soin: SAUVE QUI PEUT et EN PREMIÈRE LIGNE.
Les horaires et tarifs...
- Mercredi 5 novembre à 20 h 15
- Lundi 10 novembre à 18 h 15
- Samedi 22 novembre à 18 h 15
- Dimanche 30 novembre à 20 h 15
- Plein tarif 14.–
- Réduit 11.–
- Membres 10.–
- Ecoles partenaires et résident·es Alfaset 5.–
Bande Annonce...
Mais encore...
Film coup de poing, le troisième long métrage de la réalisatrice est résolument politique, même s'il ne s'appuie que sur des faits. Et il dénonce le fait qu'en Suisse alémanique, comme en France, le manque de moyens de l'hôpital public criant. Il s'agit donc d'un hommage à ces soignant·es souvent mal payé·es, mal considéré·es, sous pression, qu'on applaudissait chaque soir au temps du Covid, mais dont les conditions ne se sont pas améliorées depuis.
– France Info –
Élaboré comme une véritable chorégraphie, le film est tendu, constamment dans l’action, avec, au-delà de sa rigueur formelle, une indéniable dimension documentaire permettant à Petra Volpe d’éviter l’écueil d’une approche mélodramatique cherchant uniquement l’émotion.
– Stéphane Gobbo, Le Temps –
– France Info –
Élaboré comme une véritable chorégraphie, le film est tendu, constamment dans l’action, avec, au-delà de sa rigueur formelle, une indéniable dimension documentaire permettant à Petra Volpe d’éviter l’écueil d’une approche mélodramatique cherchant uniquement l’émotion.
– Stéphane Gobbo, Le Temps –
