Du 10 Nov au 18 Nov
SAUVE QUI PEUT
Documentaire
En bref...
Dans la petite arène du centre de formation du CHUV à Lausanne, de «faux·sses» patient·es et de «vrai·es» soignant·es simulent des consultations médicales, pour apprendre la bienveillance. Mais dans un système hospitalier de plus en plus libéral, qui exerce lui-même de la violence sur le personnel médical, cet idéal relationnel est-il vraiment possible? Un film beau et troublant, qui brouille les pistes entre réel et mise en scène pour mieux mettre en valeur le souci de soin qui continue malgré tout d’animer l’humanité.En complément...
La sortie de KIKA est l’occasion de remontrer les films précédents de la cinéaste, coup de cœur de notre programme de novembre. Son œuvre illustre à quel point documentaire et fiction, réel et imaginaire se nourrissent et se renforcent mutuellement. L’occasion aussi de tisser un fil rouge du soin, en reprenant également pour quelques séances le palpitant EN PREMIÈRE LIGNE de la réalisatrice suisse Petra Volpe.
Les horaires et tarifs...
- Lundi 10 novembre à 20 h 15
- Samedi 15 novembre à 18 h 15
- Mardi 18 novembre à 18 h 15
- Plein tarif 14.–
- Réduit 11.–
- Membres 10.–
- Ecoles partenaires et résident·es Alfaset 5.–
Bande Annonce...
Mais encore...
Sauve qui peut, ou le délicat apprentissage de l’empathie à l’hôpital. Alexe Poukine saisit de façon percutante ces moments de vérité où les masques tombent.
– Marie-Joëlle Gros, Télérama –
Pour accéder à la vérité brute, il faut traquer ce qui est présumé d'un corps, d'un mode de vie à partir des images véhiculées par la société. À travers ce nouveau thème, la cinéaste prolonge ceux qui habitaient son précédent film, Sans frapper. Mettant en exergue le pouvoir de l'écoute et de la parole, elle creuse ici encore le procédé du reenactment.
– Cloé Tralci, Visions du Réel –
– Marie-Joëlle Gros, Télérama –
Pour accéder à la vérité brute, il faut traquer ce qui est présumé d'un corps, d'un mode de vie à partir des images véhiculées par la société. À travers ce nouveau thème, la cinéaste prolonge ceux qui habitaient son précédent film, Sans frapper. Mettant en exergue le pouvoir de l'écoute et de la parole, elle creuse ici encore le procédé du reenactment.
– Cloé Tralci, Visions du Réel –