Le 16 Nov
SUR LA CRÊTE geste, son, espace et temps - creation
musique contemporaine

Quatuor LGBS 
violoncelle, contrebasse, heptacorde Soizic Lebrat

violon, contrebasse, pentaphone Anouck Genthon
violons, tonatem Patricia Bosshard
altos à 5 et 8 cordes Marie Schwab

installation Rudy Decelière

 

coproduction Pôle Nord - CMC , Centre de culture ABC

accueil en résidence Usine Kugler Genève

 

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Le Quatuor LGBS et l’artiste sonore Rudy Decelière se rassemblent autour d’une création collective située dans les interstices d’une performance et d’une installation. Cet objet prendra corps autant dans le temps que dans l’espace, travaillant la matière sonore autour de dispositifs activés ponctuellement qui se compléteront au fil du temps. Le public sera invité à traverser les 5 propositions sonores intimement tissées tout au long de la performance, et à perdre la mesure du son qui est produit, le quatuor n’étant plus envisagé comme seul producteur de son. Perdre la mesure de la source, du support de diffusion, du temps qui s’étire dans un espace qui s’imprègne de ce qui est à l’œuvre. Le public investira les lieux de la performance dans son intégralité en trouvant sa juste distance vis-à-vis des musiciennes et des éléments installatifs. 

 

L’objectif étant de faire converger l’ensemble de ces principes créateurs dans la visualisation d’un objet global situé dans les interstices d’une performance et d’une installation. Cet objet prendra corps autant dans le temps que dans l’espace, travaillant la matière sonore autour de dispositifs activés ponctuellement qui se compléteront au fil du temps. Le public sera invité à perdre la mesure du son qui est produit, le quatuor n’étant plus envisagé comme seul producteur de son. Perdre la mesure de la source, du support de diffusion, du temps qui s’étire dans un espace qui s’imprègne de ce qui est à l’œuvre. Le public investira les lieux de la performance dans son intégralité en trouvant sa juste distance vis-à-vis des musiciennes et des éléments installatifs. Ces derniers se déploieront dans l’espace de manière subtile, jouant de croisements, de lignes tendues et d’éléments suspendus en mouvement. Chaque élément de cet ensemble entretient un rapport singulier à l’attention qui s’aiguise et se met au diapason de l’infime, du presque inaudible comme autant de dispositifs attentionnels défiant le rapport à l’événement et à la résolution.

 

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