Archive - novembre 2025
ALL THAT'S LEFT OF YOU
Fiction
En bref...
Après qu’un adolescent palestinien a été entraîné dans une manifestation en Cisjordanie, sa mère raconte l’histoire de sa famille, faite d’espoir, de courage et de lutte acharnée; tout ce qui a conduit à ce moment fatidique. Cherien Dabis incarne la mère. Elle nous regarde et déclare: “Je sais que vous vous demandez pourquoi nous sommes là. Vous ne savez pas grand-chose de nous. Ce n’est pas grave, je ne suis pas ici pour vous faire des reproches. Je suis ici pour vous dire qui est mon fils.” Pour que nous puissions le comprendre, elle nous raconte d’abord l’histoire du grand-père, et 75 ans d’histoire palestinienne. Une fresque bouleversante et édifiante.
Bande Annonce...
Mais encore...
Dans All That’s Left of You, l'histoire et le documentaire fusionnent à travers le récit d'une saga familiale universelle qui permet d'intégrer des détails historiques complexes dans des mythes personnels et collectifs émancipateurs. Le film puissant de Dabis fait qu'on se rapporte à la phénoménale souffrance de ses personnages, rendant les traumatismes qu’ils ont subis tangibles au lieu de les diminuer.
– David Katz, Cineuropa –
Avec un regard compatissant et attentif sur les traumatismes générationnels, il s'agit d'une contribution significative aux récits palestiniens.
– Variety –
– David Katz, Cineuropa –
Avec un regard compatissant et attentif sur les traumatismes générationnels, il s'agit d'une contribution significative aux récits palestiniens.
– Variety –
Un film poignant pour comprendre l'histoire palestinienne à travers les générations.
– RTS, Tout un monde –
La mise en scène, d’une beauté âpre, alterne la lumière poussiéreuse des souvenirs et la nervosité du présent, composant un poème visuel sur la persistance du deuil et la dignité des survivants.
– Olivier Wyser, La Liberté –
– RTS, Tout un monde –
La mise en scène, d’une beauté âpre, alterne la lumière poussiéreuse des souvenirs et la nervosité du présent, composant un poème visuel sur la persistance du deuil et la dignité des survivants.
– Olivier Wyser, La Liberté –
