Du 1 Oct au 18 Oct
KOUTÉ VWA (ÉCOUTEZ LES VOIX)
Fiction
En bref...
Melrick, un adolescent de 13 ans, passe ses vacances d'été chez sa grand-mère Nicole, à Cayenne, en Guyane. Sa présence et son désir d’apprendre à jouer du tambour fait resurgir le spectre de Lucas, le fils de Nicole, lui aussi tambouyé, mort dans des conditions tragiques 11 ans plus tôt… Pour ce premier et sublime long-métrage, Maxime Jean-Baptiste s’appuie sur un drame réel qui a marqué sa famille, en confiant à ses proches le soin d’interpréter leur propre rôle. Le film interroge les chemins du pardon et du deuil, les réponses apportées sont bouleversantes. Doublement primé au Festival de Locarno !Les horaires et tarifs...
- Mercredi 1 octobre à 20 h 15
- Vendredi 3 octobre à 18 h 15
- Dimanche 5 octobre à 20 h 15
- Lundi 6 octobre à 18 h 15
- Mercredi 8 octobre à 20 h 15
- Vendredi 10 octobre à 18 h 15
- Samedi 18 octobre à 14 h 15
- Plein tarif 14.–
- Réduit 11.–
- Membres 10.–
- Ecoles partenaires et résident·es Alfaset 5.–
Bande Annonce...
Mais encore...
Émouvant portrait poétique et politique de la Guyane, ce poème mélancolique, où la musique répond à la tentation de la vengeance, avait remporté le Prix du jury à Locarno en 2024 dans la section Cinéastes du présent. A l’affiche au Cinématographe lausannois et au Spoutnik genevois, avant l’ABC chaux-de-fonnier début octobre, Kouté Vwa doit sa sortie à ces trois salles.
– Mathieu Loewer, Le Courrier –
Kouté Vwa, en créole, signifie "écoute les voix". Quelles voix ? Si c’est de spectres qu’il s’agit, le cinéaste Maxime Jean-Baptiste ne les convoque qu’à bras bruit, dans un film sans fioritures magiques, empruntant tout ce qu’il veut au documentaire et à la fiction. Ecouter les voix signifie chercher les formes que l’on peut donner à la consolation, répandre du lien et de la dignité à la vilaine face du fait divers. Un envoûtant récit de transmission, sur les pas d’un adolescent entre deux cultures.
– Sandra Onana, Libération –
Maxime Jean-Baptiste réalise un beau premier long métrage d’une justesse et d’un minimalisme épuré, régi par une force contestataire discrète mais ô combien incarnée.
– Marilou Duponchelle, Les Inrocks –
– Mathieu Loewer, Le Courrier –
Kouté Vwa, en créole, signifie "écoute les voix". Quelles voix ? Si c’est de spectres qu’il s’agit, le cinéaste Maxime Jean-Baptiste ne les convoque qu’à bras bruit, dans un film sans fioritures magiques, empruntant tout ce qu’il veut au documentaire et à la fiction. Ecouter les voix signifie chercher les formes que l’on peut donner à la consolation, répandre du lien et de la dignité à la vilaine face du fait divers. Un envoûtant récit de transmission, sur les pas d’un adolescent entre deux cultures.
– Sandra Onana, Libération –
Maxime Jean-Baptiste réalise un beau premier long métrage d’une justesse et d’un minimalisme épuré, régi par une force contestataire discrète mais ô combien incarnée.
– Marilou Duponchelle, Les Inrocks –
