Archive - novembre 2022
COUVRE-FEU
Ciné-soupe
fiction-documentaire
En bref...
Après avoir présenté le work-in-progress en février 2020 dans le cadre du Festival Mille fois le temps, Rachel Noël revient à la Chaux-de-Fonds pour nous présenter COUVRE-FEU, sur la vie de Monique Saint-Hélier.Bande-annonce...
Mais encore...
âge légal et conseillé 16 ans
C’est l’été. Deux jeunes filles explorent une maison de campagne inhabitée, figée dans le temps. Dans le grenier, elles y font la découverte d’une malle, remplie de photographies, de dessins, de peintures et surtout de pages manuscrites, composant le journal de guerre de l’écrivaine suisse Monique Saint-Hélier.
Dans ce dispositif fictionnalisé, la réalisatrice Rachel Noël fait revivre les pages de cette femme de lettres et artiste chaux-defonnière, exilée en France dès 1924. Ces lettres lues dans une maison sans âge font revivre Monique Saint-Hélier le temps d’un film, alitée une bonne partie de sa vie, affaiblie par la maladie et tourmentée pendant la Seconde Guerre mondiale qu’elle passe à Paris, dans un hiver infini et la pénurie permanente.
La cinéaste Rachel Noël fait apparaître de manière surprenante, dans un temps suspendu, les êtres qui l’ont accompagnée durant sa vie : son mari Blaise Briod, ses ami·es Rainer Maria Rilke et Marie Laurencin, mais aussi les femmes qui l’inspirent : Katherine Mansfield, Emily Brontë, Virginia Woolf et bien d’autres. La splendide renaissance d’une oeuvre littéraire par le pouvoir du cinéma.
C’est l’été. Deux jeunes filles explorent une maison de campagne inhabitée, figée dans le temps. Dans le grenier, elles y font la découverte d’une malle, remplie de photographies, de dessins, de peintures et surtout de pages manuscrites, composant le journal de guerre de l’écrivaine suisse Monique Saint-Hélier.
Dans ce dispositif fictionnalisé, la réalisatrice Rachel Noël fait revivre les pages de cette femme de lettres et artiste chaux-defonnière, exilée en France dès 1924. Ces lettres lues dans une maison sans âge font revivre Monique Saint-Hélier le temps d’un film, alitée une bonne partie de sa vie, affaiblie par la maladie et tourmentée pendant la Seconde Guerre mondiale qu’elle passe à Paris, dans un hiver infini et la pénurie permanente.
La cinéaste Rachel Noël fait apparaître de manière surprenante, dans un temps suspendu, les êtres qui l’ont accompagnée durant sa vie : son mari Blaise Briod, ses ami·es Rainer Maria Rilke et Marie Laurencin, mais aussi les femmes qui l’inspirent : Katherine Mansfield, Emily Brontë, Virginia Woolf et bien d’autres. La splendide renaissance d’une oeuvre littéraire par le pouvoir du cinéma.