Archive - novembre 2021
SOLO-SOLO
UN SEUL-EN-SCENE-MUSICAL / CREATION
Théâtre et musique
En bref...
L’année 2020 aura été l’année de l’isolement. C’est dans ces heures de solitude et de doute qu’est né peu à peu, chez le comédien et musicien chaux-de-fonnier Daniele Pintaudi, le désir d’écrire un seul-en-scène musical, une soirée-retrouvailles réunissant musique pour piano, chants, textes et vidéo.En complément...
ATTENTION!
Compte tenu des nouvelles mesures sanitaires imposées dès le lundi 13 septembre, nous serons dans l'obligation de vous demander un certificat COVID (obtenu suite à une vaccination, une guérison récente ou un test négatif) ainsi qu'une pièce d'identité à l'entrée de chaque spectacle.
Merci de votre compréhension
Compte tenu des nouvelles mesures sanitaires imposées dès le lundi 13 septembre, nous serons dans l'obligation de vous demander un certificat COVID (obtenu suite à une vaccination, une guérison récente ou un test négatif) ainsi qu'une pièce d'identité à l'entrée de chaque spectacle.
Merci de votre compréhension
Mais encore...
conception, mise en scène et jeu Daniele Pintaudi
vidéo Laurent Valdès
son Martin Hofstetter
création lumière Alessandra Domingues
œil extérieur Françoise Boillat
photos Heidi Arens
musiques Scarlatti, Bach, Ravel, Glass, Fauré, Véronique Sanson, Mina, Celentano...
production ass. odd productions
coproduction Centre de culture ABC
Oh solitude !
La solitude est omniprésente et inhérente à toute vie. Elle est parfois cachée, parfois refusée, parfois embrassée, bien ou mal vécue, source d’angoisses ou de créativité.
Le personnage de notre spectacle sera seul en scène : un « entertainer », vaguement inspiré d’Elton John jeune, flamboyant et extraverti sous les projecteurs, secret et blessé dans son intérieur. Il évoquera, en parlant, en jouant du piano et en chantant, le souvenir de grands interprètes, des souvenirs de films, d’opéra, de lectures. Tous ces récits, sortis du jardin secret du personnage sur scène (un imaginaire très personnel mais universel), évoqueront la solitude.
Ainsi SOLO SOLO, ce sera l’histoire du marquis de Sade qui joue du clavecin, de Romy Schneider qui lit une lettre, de Glenn Gould qui écoute Barbra Streisand à la radio, de Pavarotti qui ouvre les bras à son public, de Martha Argerich qui est aveuglée par la lumière de la scène, de Jessye Norman qui apparaît au loin en ombre chinoise, d’Elton John jeune en costume de lumière, de Rainer Maria Rilke qui se promène dans un jardin sur un air de Schumann… soirée en solitaire d’un homme seul qui parle à des ombres, ce spectacle sera paradoxalement dédié au plaisir des retrouvailles avec le public, avec la scène, avec le partage et l’échange.
« Je suis perdu pour le monde, avec qui j’ai perdu beaucoup de temps ; il n’a rien entendu de moi depuis si longtemps, qu’il peut bien me croire mort !»
Friedrich Rückert
La solitude est omniprésente et inhérente à toute vie. Elle est parfois cachée, parfois refusée, parfois embrassée, bien ou mal vécue, source d’angoisses ou de créativité.
Le personnage de notre spectacle sera seul en scène : un « entertainer », vaguement inspiré d’Elton John jeune, flamboyant et extraverti sous les projecteurs, secret et blessé dans son intérieur. Il évoquera, en parlant, en jouant du piano et en chantant, le souvenir de grands interprètes, des souvenirs de films, d’opéra, de lectures. Tous ces récits, sortis du jardin secret du personnage sur scène (un imaginaire très personnel mais universel), évoqueront la solitude.
Ainsi SOLO SOLO, ce sera l’histoire du marquis de Sade qui joue du clavecin, de Romy Schneider qui lit une lettre, de Glenn Gould qui écoute Barbra Streisand à la radio, de Pavarotti qui ouvre les bras à son public, de Martha Argerich qui est aveuglée par la lumière de la scène, de Jessye Norman qui apparaît au loin en ombre chinoise, d’Elton John jeune en costume de lumière, de Rainer Maria Rilke qui se promène dans un jardin sur un air de Schumann… soirée en solitaire d’un homme seul qui parle à des ombres, ce spectacle sera paradoxalement dédié au plaisir des retrouvailles avec le public, avec la scène, avec le partage et l’échange.
« Je suis perdu pour le monde, avec qui j’ai perdu beaucoup de temps ; il n’a rien entendu de moi depuis si longtemps, qu’il peut bien me croire mort !»
Friedrich Rückert
