Archive - novembre 2019
MARIONNETTES
18E FESTIVAL INTERNATIONAL
En bref...
Objet parfois non identifié, la marionnette est riche de mille et une techniques. Cette année et dans tout le canton, pas moins d’une vingtaine de spectacles pour présenter cet art dans tous ses états !
Mais encore...
22 compagnies venant de Belgique, France, USA, Slovénie, Finlande, entre autres. Pas moins de 48 représentations durant 10 jours de fête. A la Chaux- de-Fonds et Neuchâtel, comme toujours, et puis au Val-de-Ruz, à Saint-Aubin et au Locle.
PROGRAMME COMPLET SUR LE SITE DU FESTIVAL
« La force, c’est notre pérennité, notre détermination à toujours proposer un choix de spectacles qui ne laisse rien à la facilité, rien à la mode – jamais ! […]
[Ce sont] encore les thèmes abordés par les marionnettes : Tchernobyl, les Sonderkommando, les migrants, Mai 68 et son héritage, l’asservissement de la pensée… La force, c’est la faculté des artistes à manipuler les matières, les odeurs, l’ombre et la lumière et ces machineries magiques pour exprimer l’essentiel : un message puissant, un symbole, une image qui dérange.
[Mais] la marionnette est un art où la fragilité est première. C’est elle qui nous fascine. C’est le regard de ce spectateur qui se déplace du manipulateur à l’objet manipulé – quels mots pour dire ce qu’il observe ? Cette fragilité, c’est le décalage dans nos certitudes comme un nouvel angle qui surgit soudain dans notre pensée. Ou ces quelques secondes de bascule qui font qu’un enfant éclate de rire, qu’un adulte reste bouche bée. La fragilité est l’émotion indispensable à la compréhension de notre monde…»
« La force, c’est notre pérennité, notre détermination à toujours proposer un choix de spectacles qui ne laisse rien à la facilité, rien à la mode – jamais ! […]
[Ce sont] encore les thèmes abordés par les marionnettes : Tchernobyl, les Sonderkommando, les migrants, Mai 68 et son héritage, l’asservissement de la pensée… La force, c’est la faculté des artistes à manipuler les matières, les odeurs, l’ombre et la lumière et ces machineries magiques pour exprimer l’essentiel : un message puissant, un symbole, une image qui dérange.
[Mais] la marionnette est un art où la fragilité est première. C’est elle qui nous fascine. C’est le regard de ce spectateur qui se déplace du manipulateur à l’objet manipulé – quels mots pour dire ce qu’il observe ? Cette fragilité, c’est le décalage dans nos certitudes comme un nouvel angle qui surgit soudain dans notre pensée. Ou ces quelques secondes de bascule qui font qu’un enfant éclate de rire, qu’un adulte reste bouche bée. La fragilité est l’émotion indispensable à la compréhension de notre monde…»
