Archive - juin 2022
MALGRÉS / L'ALBÂTRE
Coaccueil ADN / ABC
Diptyque danse
En bref...
Deux pièces courtes en enfilade : l'une ludique ,"musique et corps", sur les petits ratés de la vie ; l'autre : un solo tout en blanc. Clara Delorme est une jeune chorégraphe et danseuse romande dont on a pas fini d'entendre parler... ! Une nouvelle et réjouissante collaboration avec l'ADN.MALGRÉS...
Mais encore...
idée, chorégraphie et interprétation Clara Delorme (M+A)
collaboration artistique et interprétation Christian Garcia-Gaucher (M)
construction scénographie Grégory Gaulis (M)
création lumière Alain Vitaloni (M), Léo Garcia (A)
conception prothèses Nagi Gianni (M)
accompagnement technique Xavier Weissbrodt (A), Grégory Gaulis (A)
regard extérieur Nicole Seiler (M+A), Yan Duyvendak (M)
production Cie Racine
coproduction Théâtre Sévelin 36
coaccueil Association danse Neuchâtel - ADN, Centre de culture ABC
collaboration artistique et interprétation Christian Garcia-Gaucher (M)
construction scénographie Grégory Gaulis (M)
création lumière Alain Vitaloni (M), Léo Garcia (A)
conception prothèses Nagi Gianni (M)
accompagnement technique Xavier Weissbrodt (A), Grégory Gaulis (A)
regard extérieur Nicole Seiler (M+A), Yan Duyvendak (M)
production Cie Racine
coproduction Théâtre Sévelin 36
coaccueil Association danse Neuchâtel - ADN, Centre de culture ABC
MALGRES raconte l’incongru du destin, invite cocassement à savourer les petits ratés de la vie.
“Se tromper c’est si doux. Ça veut dire qu’on peut refaire encore. J’adore les gens qui se cognent, je les trouve touchants. C’est comme mettre le feu à un papier très important et dire « OUPS ». Ou alors on peut aussi craquer son pantalon.” CD
Avec L'ALBÂTRE, l’artiste évolue avec la blancheur nue de son corps, mais avec ses lunettes tout de même.
“L’albâtre, c’est un oiseau, un animal donc un corps. Blanc. Mais c’est aussi une pierre, du marbre froids, un carré. Blanc.
-Donc un corps d’animal sur un carré blanc.
Oui c’est ça.” CD
“Se tromper c’est si doux. Ça veut dire qu’on peut refaire encore. J’adore les gens qui se cognent, je les trouve touchants. C’est comme mettre le feu à un papier très important et dire « OUPS ». Ou alors on peut aussi craquer son pantalon.” CD
Avec L'ALBÂTRE, l’artiste évolue avec la blancheur nue de son corps, mais avec ses lunettes tout de même.
“L’albâtre, c’est un oiseau, un animal donc un corps. Blanc. Mais c’est aussi une pierre, du marbre froids, un carré. Blanc.
-Donc un corps d’animal sur un carré blanc.
Oui c’est ça.” CD