Archive - mars 2022
L'OISEAU CANADÈCHE
UNE FABLE MODERNE
théâtre - création
En bref...
L'OISEAU CANADECHE raconte le quotidien burlesque et décalé de Pépé Jack, de son petit-fils Titou et d'une cane obèse recueillie mourante par les deux compères. Entre eux va se nouer un amour sincère et mouvementé, entre distillation de whisky maison, leçons de vol et chasse aux sangliers dans les forêts californiennes entourant le ranch fantôme de Jack. Une création de la jeune compagnie neuchâteloise Onirique Propagande !Mais encore...
texte Jim Dodge (FUP, dans sa traduction française de Jean-Pierre Carasso, L'OISEAU CANADECHE)
adaptation et mise en scène Léo Vuille
jeu Noémie Baudet, Noé Favre, Victor Lafrej, Clémence Mermet
conception et réalisation des marionnettes Christophe Kiss
scénographie Valère Girardin
univers sonore Hervé Girardin
création lumière et régies Gaël Chapuis
production Cie Onirique Propagande
coproduction Centre de culture ABC
Jack, vieil homme acariâtre et excentrique, porté sur la bouteille et le jeu, mène une vie contemplative dans son ranch désert de Californie. Il y peaufine la recette de son whisky maison, son “vieux Râle d’Agonie”, dont il est convaincu qu’il lui a apporté l’immortalité.
Lorsqu’il apprend la mort tragique de sa fille, il fait des pieds et des mains pour obtenir la garde de son petit-fils Titou (“uniquement pour récupérer son héritage substantiel”, soutiennent quelques mauvaises langues…). Les deux hommes, que presque tout oppose, tant au niveau du caractère que des passions, grandissent côte à côte, finissant au fil des années par se vouer, malgré leurs taquineries quotidiennes et le caractère bourru de Jack, un amour “émerveillé”.
Comme le note Nicolas Richard dans la postface du roman : “ La mort est lente à la détente mais elle est là, constamment en ligne de mire, comme tapie en chien de fusil : au bout de la jetée ou au fond de la cruche”. La vie insouciante des trois compères va être chamboulée par un évènement tragique. Événement qui, considéré d’un certain point de vue, pourrait permettre au jeune Titou de se réconcilier avec un passé tourmenté et avec le souvenir de la mort de sa mère qui le hante.
Lorsqu’il apprend la mort tragique de sa fille, il fait des pieds et des mains pour obtenir la garde de son petit-fils Titou (“uniquement pour récupérer son héritage substantiel”, soutiennent quelques mauvaises langues…). Les deux hommes, que presque tout oppose, tant au niveau du caractère que des passions, grandissent côte à côte, finissant au fil des années par se vouer, malgré leurs taquineries quotidiennes et le caractère bourru de Jack, un amour “émerveillé”.
Comme le note Nicolas Richard dans la postface du roman : “ La mort est lente à la détente mais elle est là, constamment en ligne de mire, comme tapie en chien de fusil : au bout de la jetée ou au fond de la cruche”. La vie insouciante des trois compères va être chamboulée par un évènement tragique. Événement qui, considéré d’un certain point de vue, pourrait permettre au jeune Titou de se réconcilier avec un passé tourmenté et avec le souvenir de la mort de sa mère qui le hante.
soutiens Atelier Inter-du-Mitan, Ernst Göhner Stiftung, Fondation du Casino de Neuchâtel, Fondation culturelle de la Banque Cantonale Neuchâteloise, Fondation Jan Michalski pour l’écriture et la littérature, Fondation Neuchâteloise Assurances du 125ème anniversaire, La Loterie Romande